*
*
Le soleil du matin doucement chauffe et dore
Les seigles et les blés tout humides encore,
Et l’azur a gardé sa fraîcheur de la nuit.
L’on sort sans autre but que de sortir ; on suit,
Le long de la rivière aux vagues herbes jaunes,
Un chemin de gazon que bordent de vieux aunes.
L’air est vif. Par moment un oiseau vole avec
Quelque fruit de la haie ou quelque paille au bec,
Et son reflet dans l’eau survit à son passage.
C’est tout.
*
Commentaires
Cc pascal en lisant jme le suis imaginé et tu sais suoi ...j avais l impression d une douce balade de printemps ce fût bon surtout avec mon café ss la couette,merci et bonne journée bisouxxx de moi merci